Diário de Liv

quarta-feira, agosto 06, 2008

Le tourbillon de la vie
.
Elle avait des bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla.
Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l'ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m'fut fatale.
On s'est connus, on s'est reconnus,
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue
On s'est retrouvés, on s'est réchauffés,
Puis on s'est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir, hàie, hàie, hàie
Ça fait déjà un fameux bail.
Au son des banjos je l'ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m'avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M'émurent plus que jamais.
Je me suis soûlé en l'écoutant.
L'alcool fait oublier le temps.
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant.
On s'est connus, on s'est reconnus.
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue
On s'est retrouvés, on s'est séparés.
Dans le tourbillon de la vie.
On a continué à toumer
Tous les deux enlaces
Tous les deux enlacés.
Puis on s'est réchauffés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie.
Je l'ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras.
Quand on s'est connus,
Quand on s'est reconnus,
Pourquoi se perdre de vue,
Se reperdre de vue ?
Quand on s'est retrouvés,
Quand on s'est réchauffés,
Pourquoi se séparer ?
Alors tous deux on est repartis
Dans le tourbillon de la vie
On a continué à tourner
Tous les deux enlaces
Tous les deux enlaces
.
Autor: George Delerue
Intérprete: Jeanne Moreau
Filme: Uma Mulher para Dois, 1961.
.
.
.
"O Turbilhão"
(créditos da tradução: Karen Cunha, http://queroserjm.blogspot.com/2004_04_01_archive.html)
.
"Ela usava um anel em cada dedo. Nos pulsos, muitas pulseiras. Cantava com uma tal voz que logo me tomava. Seus olhos... seus olhos de opala me fascinavam... me fascinavam. Sua face pálida e oval... Que mulher fatal que me foi fatal. Nos encontramos. Nos perdemos de vista. Nos reencontramos e reaquecemos. Depois nos separamos para cada um, um caminho seguido no turbilhão da vida. Uma noite eu a revi... Novamente, sua visão em encantou. Ao som de banjos, reconheci aquele sorriso que me fascinava, sua voz tão fatal e sua bela face pálida tocaram-me como nunca. Ouvindo-a me embriaguei... o álcool faz esquecer o tempo, acordei sentindo beijos na minha testa ardente...na minha testa ardente! (...) Uma noite, eu a revi ... e mais uma vez ela caiu nos meus braços... e mais uma vez caiu nos meus braços! Quando nos encontramos por que nos desencontramos? Quando, enfim, nos reencontramos e nos reaquecemos por que nos separamos? Então retomamos nosso caminho no turbilhão da vida. E continuamos a rodar os dois, entrelaçados."

0 Comentários:

Postar um comentário

Assinar Postar comentários [Atom]

<< Página inicial